octobre 2008

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cetmef définition

CETMEF : Instauré en 1998, le Centre d’études techniques maritimes et fluviales résulte de la fusion du Service technique central des ports et des voies navigables (STCPMVN) avec le Service technique de la navigation maritime et des transmissions de l’équipement (STNMTE). Dépendant du Ministère de l’écologie, du développement et de l’aménagement durables, le CETMEF est un service à compétence nationale, est en charge de l’élaboration et de la diffusion des techniques, de la réalisation d’études et de recherches, de l’exécution de prestations d’ingénierie et d’expertises.

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cept définition

CEPT : Instituée en 1959, la Conférence européenne des postes et télécommunications (CEPT) regroupe actuellement les administrations de 44 pays. Véritable forum européen de discussion sur les questions de réglementation et de compétence nationale dans le domaine des postes et des télécommunications, la CEPT a notamment pour objet de promouvoir et faciliter les relations entre les régulateurs européens en favorisant la coopération entre les membres, notamment avec les pays d’Europe centrale et orientale. Lors de sa création, les activités de la CEPT s’étendaient aux problématiques liées à la coopération commerciale, opérationnelle, réglementaire et de normalisation technique. Depuis 1995, elle aborde exclusivement les questions réglementaires et de compétence nationale.

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CCI définition

CCI : Le Centre de contrôle international de Rambouillet (CCI) exerce des missions de contrôle au niveau international, conformément aux dispositions du Règlement des radiocommunications. Dans ce cadre, il participe au contrôle continu 24H/24H des bandes de fréquences inférieures à 26 MHz et à l’élimination des brouillages préjudiciables. Il procède également au contrôle des bandes de fréquences plus élevées, en parallèle avec les six services régionaux de l’Agence nationale des fréquences (ANFR), sur tout le territoire national.

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CCE définition

CCE : La Commission consultative de compatibilité électromagnétique du spectre (CCE) procède à la réalisation d’études de partage du spectre, de compatibilité et d’ingénierie des réseaux. Elle supervise également la préparation des travaux du groupe de travail spectrum engineering (CEPT). Elle est rattachée à la commission de synthèse et de prospective en radiocommunication.

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CAPTEF

CAPTEF : Instituée en 1960, la Conférence des administrations des postes et télécommunications des pays d’expression française (CAPTEF) réunit désormais 19 pays membres et 6 pays observateurs. Véritable instance de dialogue pour les régulateurs et opérateurs des postes et télécommunications des pays membres et observateurs, elle tente, par son action, de répondre au problématiques induites de l’organisation d’un marché efficacement régulé.

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caf définition

CAF : La Commission consultative d’assignation des fréquences autorise l’utilisation des fréquences au niveau national. De plus, elle « coordonne les assignations de fréquences dans les bandes en partage et est informée des projets d’assignation de nouvelles fréquences dans les bandes exclusives avec dérogation sur lesquels elle peut émettre un avis » (code des postes et des communications électroniques, art. 52-2-1 4°).

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BNetzA

BNetzA : L’Agence fédérale des réseaux pour l’électricité, le gaz, les télécommunications, la poste et les chemins de fer (Bundesnetzagentur für elektrizität, gas, telekommunikation, post und eisenbahnen – BNetzA) est une haute instance fédérale autonome rattachée au ministère fédéral de l’économie et de la technologie et située à Bonn. Issue du ministère fédéral de la poste et des télécommunications (BMPT) et de l’Office fédéral de la poste et des télécommunications (BAPT), elle a été rebaptisée « Agence fédérale des réseaux » le 13 juillet 2005.

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atci définition

ATCI : L’Agence des télécommunications de Côte-d’Ivoire (ATCI) a été créée par la loi n°95-526 du 7 juillet 1995 portant code des télécommunications sous la forme d’un établissement public de catégorie particulière, puis fut transformée en société d’Etat par l’ordonnance n°98-441 du 4 Août 1998.

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ARPT algérie définition

ARPT (Algérie) : L’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) a été créée dans le cadre de la libéralisation des marchés postal et des télécommunications, dont l’ouverture à la concurrence et à la promotion de la participation de l’investissement privé a été consacrée par la loi n°2000-03 du 5 août 2000.

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ARCEP définition

ARCEP : L’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) a été créée en 1996 sous la dénomination Autorité de régulation des télécommunications (ART) pour réguler le secteur des télécommunications. Elle est devenue l’ARCEP en 2005, le législateur ayant souhaité lui confier également la régulation des activités postales en vertu de la loi n°2005-516 du 20 mai 2005.

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ANRT (Maroc) définition

ANRT (Maroc) : L’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) est un établissement public institué auprès du premier ministre, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière et mis en place en février 1998, en application de la loi n°24-96 relative à la poste et aux télécommunications de réorganisation du secteur des postes et des télécommunications au Maroc.  

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Agence nationale des fréquences (anfr) définition

ANFR : L’Agence nationale des fréquences (ANFR) est un établissement public à caractère administratif placé auprès du ministre en charge des communications électroniques dont les missions sont définies par le code des postes et des communications électroniques (planification et contrôle du spectre, gestion des fréquences, suivi des conventions avec les affectataires).

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Contentieux informatique – logiciels libres

Contentieux informatique Les logiciels libres Une liberté sous contraintes Ouverts ou libres, les logiciels restent soumis à des règles imposées par le droit ou des groupes de pression. La brevetabilité peut aussi constituer un plus de liberté. Les logiciels qui sont communément désignés comme des logiciels libres présentent, d’un point de vue juridique, au moins deux caractéristiques contradictoires. En premier lieu, il est paradoxal d’associer l’idée de liberté aux logiciels qui sont des œuvres de l’esprit privatives du seul fait de leur création, même inachevée… (Lire la suite…) L’Assemblée nationale lance un appel d’offres pour s’équiper de logiciels Libres L’Assemblée nationale vient de lancer un appel d’offres ayant pour objet la mise en oeuvre de l’environnement logiciel libre des postes micro-informatiques des députés lors de la prochaine législature. Comme elle l’avait annoncé dans un communiqué du 22 novembre 2006 l’Assemblée a décidé de doter les postes micro-informatiques mis à la disposition des députés de logiciels libres : système d’exploitation Linux, suite bureautique Open Office, navigateur Internet Firefox et client de messagerie libre. Cette décision répond de manière concrète aux préconisations de nombreux députés de voir les pouvoirs publics recourir plus largement aux logiciels libres. (Lire la suite…) Construire son projet sur du « libre » Assurer une maîtrise des coûts et son indépendance à l’égard des éditeurs, telles sont les principales motivations du recours au logiciel libre. Pour autant, il faut prendre certaines précautions, tant sur le plan du droit d’auteur, que sur celui de l’organisation du projet. Tout d’abord, le logiciel libre demeure soumis au Code de la propriété intellectuelle ; ainsi « tout ce qui n’est pas autorisé est interdit ». L’examen attentif de la licence s’impose afin d’identifier le dispositif contractuel de type « copyleft » (sans restriction) ou « non copyleft » (avec restriction) et de déterminer les contraintes d’exploitation et la conformité du contrat aux libertés fondamentales des licences de type GPL ou compatibles : liberté d’exécuter le programme, liberté d’étudier et d’adapter, liberté de redistribuer et liberté d’améliorer. Libre et gratuit ne sont pas forcément synonymes, dès lors qu’il est parfois nécessaire d’avoir recours à des éditions de type « distribution », pour certaines applications, qui peuvent alors être payantes. Les sociétés de services en logiciels libres (SS2L) se multiplient et présentent la particularité d’avoir à gérer le double objectif du client : obtenir d’une part, des garanties nécessaires, notamment en terme de pérennité, pour assurer la bonne fin du projet et inscrire les investissements concernés dans la durée et disposer d’autre part d’une indépendance technique, au terme d’une période d’appropriation. Ce sont ces particularités que les contrats de réalisation et d’intégration de logiciel doivent respecter, en mettant en place des processus de réception des prestations, incluant le transfert des connaissances associées, gage d’autonomie ultérieure au plan technique et un dispositif d’assistance technique sur une certaine durée, pouvant aller jusqu’à la tierce maintenance applicative, la SS2L étant alors chargée de l’interface avec la communauté des développeurs. C’est la capacité à conjuguer ces engagements particuliers qui forme la spécificité des contrats de réalisation de solution basée sur du libre. l’interview d’Alexandre Zapolsky, LINAGORA Paru dans la JTIT n°40/2005 p.1 La licence d’utilisation de logiciels libres Assurer une maîtrise des coûts et son indépendance à l’égard des éditeurs, telles sont les principales motivations du recours au logiciel libre. Pour autant, il faut prendre certaines précautions, tant sur le plan du droit d’auteur, que sur celui de l’organisation du projet. Tout d’abord, le logiciel libre demeure soumis au Code de la propriété intellectuelle ; ainsi « tout ce qui n’est pas autorisé est interdit ». L’examen attentif de la licence s’impose afin d’identifier le dispositif contractuel de type « copyleft » (sans restriction) ou « non copyleft » (avec restriction) et de déterminer les contraintes d’exploitation et la conformité du contrat aux libertés fondamentales des licences de type GPL ou compatibles : liberté d’exécuter le programme, liberté d’étudier et d’adapter, liberté de redistribuer et liberté d’améliorer. Libre et gratuit ne sont pas forcément synonymes, dès lors qu’il est parfois nécessaire d’avoir recours à des éditions de type « distribution », pour certaines applications, qui peuvent alors être payantes. Les sociétés de services en logiciels libres (SS2L) se multiplient et présentent la particularité d’avoir à gérer le double objectif du client : obtenir d’une part, des garanties nécessaires, notamment en terme de pérennité, pour assurer la bonne fin du projet et inscrire les investissements concernés dans la durée et disposer d’autre part d’une indépendance technique, au terme d’une période d’appropriation. Ce sont ces particularités que les contrats de réalisation et d’intégration de logiciel doivent respecter, en mettant en place des processus de réception des prestations, incluant le transfert des connaissances associées, gage d’autonomie ultérieure au plan technique et un dispositif d’assistance technique sur une certaine durée, pouvant aller jusqu’à la tierce maintenance applicative, la SS2L étant alors chargée de l’interface avec la communauté des développeurs. C’est la capacité à conjuguer ces engagements particuliers qui forme la spécificité des contrats de réalisation de solution basée sur du libre. Paru dans la JTIT n°40/2005 p.1 Le recours aux logiciels libres dans le secteur public L’introduction du logiciel libre dans les services publics qu’ils soient gérés par les administrations centrales ou les collectivités territoriales est vivement encouragée. L’acquisition de logiciels libres peut être gratuite (cad ne pas relever du Code des marchés publics) ou payante et nécessiter dans le cas de montants financiers significatifs, le recours aux procédures d’achat décrites par le Code des marchés publics. Les derniers freins que pouvaient constituer le foisonnement des licences existantes et leur rédaction quasi systématique en langue anglaise ont été levé par la publication par le CEA (Commissariat à l’Energie Atomique), le CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique) et l’INRIA (Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique) d’une licence suivant le modèle du logiciel libre rédigée en français et conforme au droit français de la propriété intellectuelle : la licence CeCILL (1). Par ailleurs, pour renforcer l’usage et la production

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