Impression 3D et propriété intellectuelle
Impression 3D – Anne-Sophie Cantreau revient, pour IT-expert magazine, sur l’une des principales problématiques soulevées par l’impression 3D, à savoir la protection des droits de propriété intellectuelle.
Impression 3D – Anne-Sophie Cantreau revient, pour IT-expert magazine, sur l’une des principales problématiques soulevées par l’impression 3D, à savoir la protection des droits de propriété intellectuelle.
Dans ce quatrième et dernier épisode de « Paroles d’experts pour les décideurs informatiques », Maître Alain Bensoussan expose pour IT-expert Magazine les problématiques de contrefaçon de logiciels et celle des brevets et la difficulté pour les DSI de ne pas être « hors la loi » sur ce sujet. Maitre Alain Bensoussan évoque le caractère contraignant des dispositions juridiques relatives aux logiciels libres et qui peut conduire les développeurs à devenir « faussaires malgré eux ».
La Sacem, en charge de la représentation et de la défense des auteurs-compositeurs français, et Universal Music Publishing International (UMPI) ont annoncé le 3 avril 2013 avoir régularisé un accord avec YouTube, site communautaire qui propose le visionnage en streaming de vidéos publiés par les internautes. D’après les informations communiquées par la Sacem sur son site internet www.sacem.fr, cet accord viserait à définir les conditions de l’utilisation dans 127 pays des œuvres des répertoires de la Sacem et d’UMPI.
Lancée à l’initiative de Madame le Ministre du Commerce extérieur, la 1ère journée nationale de destruction de la contrefaçon a été conduite le 11 juin 2013 par les services des douanes sur l’ensemble du territoire national. C’est ainsi qu’au terme de cette journée, la douane a annoncé la destruction de plus d’un million d’articles saisis allant des jouets aux articles de téléphonie, en passant par les produits de luxe et autres articles de mode.
La Cour européenne des droits de l’homme appelée à mettre en balance le droit d’auteur et la liberté d’expression à propos de contrefaçon commise sur internet.
La République Arabe Syrienne est le premier Etat à avoir ratifié (1) le Traité de Beijing sur la protection des artistes dans le domaine de l’audiovisuel signé le 26 juin 2012 (2) par les négociateurs des Etats membres de l’OMPI. Il s’agit du premier traité international en matière de droit d’auteur conclu au sein de l’OMPI depuis 1996 et surtout, du premier traité international relevant du domaine de la propriété intellectuelle signé en Chine.
Est-il possible d’acheter et revendre à prix d’occasion des produits numériques, tels que des fichiers MP3, des applications ou des livres numériques ?
La mise en ligne d’un service de visionnage en streaming d’émissions de télévision nécessite-t-elle l’accord des radiodiffuseurs de télévision, lorsque le contenu est communiqué au public par une société tierce ?
Antoine A titulaire des droits d’auteur sur l’œuvre du peinte Edouard Vuillard avait conclu, aux termes d’un accord avec les époux Y,
Alain Bensoussan, sollicité par Hélène Decommer pour leplus.nouvelobs.com, a commenté l’affaire Harlem Shake. Le litige oppose l’ancien artiste reggae Hector Delgado et le rappeur Jayson Musson à propos de la paternité de deux phrases « samplées », c’est-à-dire reprises sans autorisation, dans un morceau. Alain Bensoussan pour leplus.nouvelobs.com du 14 03 2013
Qu’il soit sur support, un livre numérique est un livre. Telle est la position du législateur français qui, depuis janvier 2012,
Le refus légitime des ayants-droit de Giacometti. Le sculpteur Alberto Giacometti n’a jamais exprimé ses intentions quant à l’édition
Irrecevabilité de la Spedidam dans l’affaire Alain Resnais. Invoquant l’article L. 212-3 du Code de la propriété intellectuelle qui
Publication de photographies sous un pseudonyme. Férus d’aéronautiques, deux internautes s’étaient inscrits sur un
L’interdiction de photographier des œuvres d’art d’un musée n’est pas contraire au principe de la liberté du commerce et de l’industrie. C’est ce qu’a énoncé le Conseil d’Etat dans une décision rendue le 29 octobre 2012. L’affaire commence en 2006, lorsque l’entreprise Photo Josse demande au maire de Tours l’autorisation de photographier certaines des œuvres du musée des Beaux-arts de Tours pour ensuite les publier dans des ouvrages scolaires, d’art dans la presse. Le maire de Tours n’ayant pas fait droit à la demande de l’entreprise, celle-ci a saisi le Tribunal administratif d’Orléans lequel, par jugement du 20 janvier 2009, a rejeté sa demande tendant à l’annulation pour excès de pouvoir du refus du maire. L’entreprise a fait appel du jugement et la Cour d’appel de Nantes lui a donné gain de cause. La Commune de Tours a alors saisi le Conseil d’Etat, lequel s’est prononcé en sa faveur par un arrêt du 29 octobre 2012, précisant à cette occasion le statut des œuvres d’art appartenant aux collections des musées publics et le droit des tiers d’en faire des reproductions à des fins privées et commerciales. L’entreprise soutenait, qu’en application du principe de liberté du commerce et de l’entreprise, la commune de Tours ne pouvait lui refuser le droit de reproduire les œuvres du musée communal. Toutefois, après avoir rappelé que les œuvres figurant dans les collections du musée communal de Tours font partie « des biens du domaine public mobilier de la personne publique propriétaire » visés à l’article L 2112-1 du Code général de la propriété des personnes publiques, le Conseil d’Etat a considéré que « la prise de vue d’œuvres relevant des collections du musée, à des fins de commercialisation de reproductions photographiques ainsi obtenues, doit être regardée comme une utilisation privative du domaine public mobilier » nécessitant une autorisation préalable de la personne publique propriétaire. Le Conseil d’Etat a précisé que « la décision de refuser une telle autorisation, que l’administration n’est jamais tenue d’accorder, n’est pas susceptible par elle-même de porter atteinte à la liberté du commerce et de l’industrie ». Le Conseil d’Etat a considéré que la Cour d’appel de Nantes avait commis une erreur de droit en se fondant sur le fait que « la décision du maire de Tours avait opposé un refus pur et simple à la demande de l’entreprise sans examiner avec elle la possibilité d’exercer son activité dans des conditions compatibles avec les nécessités de la gestion du musée municipal et du respect de l’intégrité de l’œuvre, alors que des autorisations de photographier avaient auparavant, et à plusieurs reprises, été délivrées à des photographes professionnels ». L’entreprise s’est vue condamnée à verser à la commune de Tours la somme de 3 000 euros au titre de l’article L 761-1 du Code de justice administrative. CE 29-10-2012 n°341173 Commune de Tours c EURL
Un cadre juridique vient d’être adopté pour les œuvres orphelines en Europe. Après avoir été approuvée de manière
L’article L 123-7 du Code de la propriété intellectuelle relatif à la transmission du droit de suite sur les
L’administrateur d’une plateforme de téléchargement condamné pour téléchargement illégal.
La « téléréalité d’enfermement », un programme sans monopole – Si le groupe de production audiovisuelle Endemol est
La distribution en ligne d’ œuvres audiovisuelles dans l’Union européenne fait l’objet d’une résolution,
Droit d’auteur et téléchargement : quelles sont les règles ? Au cours d’un entretien accordé à Microactuel, Alain Bensoussan
Google aurait-il décidé cet été de participer à la lutte contre la contrefaçon ? Plus de 200 critères composent
En matière de droits d’auteur, reproduire n’est pas représenter, c’est ce qu’a rappeler la Cour de cassation, dans un
(actualisé le 22/04/2013) Marie Soulez – Après plus de dix ans de débat, la Conférence diplomatique, qui s’était promis de mettre au point un nouveau traité à l’intention des artistes interprètes ou exécutants de l’audiovisuel jusqu’alors faiblement protégés au niveau international, s’est conclue avec succès le 26 juin 2012 avec la signature par les négociateurs des Etats membres de l’OMPI du Traité de Beijing.
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