télécommunication

Conférences, Evénement

Interviews Vidéosurveillance

Evénement Interview VIDEOSURVEILLANCE Maître Bensoussan répond à vos questions (Interview d’Alain Bensoussan Vidéosurveillance Infos Avril 2010) La Loppsi II prend le chemin du Sénat (Interview d’Alain Bensoussan Vidéosurveillance Infos Mars 2010) Les dispositifs de technosurveillance en entreprises (Interview d’Alain Bensoussan Editions Francis Lefebvre le 3 mars 2010) Technosurveillance et technoprotection (Interview d’Alain Bensoussan Vidéosurveillance Infos le 16 septembre 2009) Qui contrôle les contrôleurs ? (Interview d’Alain Bensoussan Vidéosurveillance Infos le 1er juillet 2009) Technosurveillance et technoprotection (Interview d’Alain Bensoussan Vidéosurveillance Infos le 17 juin 2009)

Conférences, Evénement

Vidéosurveillance Infos, Mai 2010

Au cours du rendez-vous mensuel accordé à Vidéosurveillance Infos, Maître Alain Bensoussan répond aux questions de Virginie Cadieu sur la protection des mineurs à l’égard des systèmes de vidéosurveillance, la conciliation de la vidésurveillance avec la liberté individuelle, son utilisation pour verbaliser sur la voie publique, et enfin sur les conditions de certification des installateurs de systèmes de vidéosurveillance. Alain Bensoussan pour Vidéosurveillance Infos, mai 2010

Actualités

Réseaux de fibre optique:l’avis de l’Autorité de la concurrence

Constructeurs ITE – Réglementation Très haut débit Réseaux de fibre optique (FttH) : l’Autorité de la concurrence saisie pour avis La décision de l’Arcep sur les modalités de déploiement et d’accès aux lignes à très haut débit en fibre optique a été homologuée par un arrêté publié au journal officiel le 17 janvier dernier (1). Cette décision concerne les zones dites « très denses ». Selon le consensus, qui est ressorti des réponses à la consultation publique de mai 2009 entre les différents acteurs, les zones très denses sont définies comme les communes à forte concentration de population, pour lesquelles, sur une partie significative de leur territoire, peut émerger une concurrence par les infrastructures, c’est-à-dire où il est économiquement viable, pour plusieurs opérateurs, de déployer leurs propres réseaux en fibre optique à proximité des logements (section 3 de la décision Arcep). Or, selon les derniers recensements Insee de 1999 et 2006, ces zones regroupent 148 communes et 5,54 millions de foyers, dont environ 3,5 millions de foyers (soit environ 60%) en grands immeubles ou accessibles via des galeries visitables de réseaux d’assainissement. En application de la décision de l’Arcep du 17 janvier 2010, les opérateurs déployant des réseaux de fibre optique (FttH) viennent de rendre publiques leurs offres d’accès à leurs réseaux. Les offres de France Télécom, SFR, Numericable, Free et Covage sont disponibles sur le site de l’Arcep (2). L’Arcep a publié un guide pratique à l’attention des personnes intéressées par les déploiements de la fibre optique dans les immeubles, en particulier les bailleurs, syndics, copropriétaires et locataires (3). L’Arcep doit maintenant s’atteler à compléter ses travaux sur le cadre réglementaire applicable en dehors de ces zones « très denses ». La Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi a saisi, le 1er février dernier, l’Autorité de la concurrence, dans le cadre d’une demande d’avis sur le programme national à très haut débit, qui devrait être mis en place et qui devrait être, en partie, financé par le grand emprunt national. L’objectif de cette demande d’avis est d’étudier l’économie générale du plan que l’Etat souhaite promouvoir par le biais de la mise en place d’appels à projet au plan régional, de labels assortis de dispositifs de prêts ou de garanties d’emprunts. L’avis portera également sur la pertinence des modalités d’intervention publique ainsi envisagées, qu’il s’agisse des zones rentables ou des zones estimées non rentables. L’objectif général est de s’assurer que les mesures envisagées ne portent pas atteinte au fonctionnement concurrentiel du marché des communications électroniques à très haut débit et, si tel devait être le cas, d’envisager les outils d’encadrement de ces risques et les remèdes qu’il conviendra d’y apporter. L’avis de l’autorité de la concurrence devrait être rendu dans les tout prochains jours. (1) Arrêté du 15-1-2010 homologuant la décision 2009-1106 de l’Arcep, JO du 17-1-2010 (2) Communiqué Arcep du 22-2-2010 (3) Guide pratique Arcep 1-2-2010 Paru dans la JTIT n°98/2010 p.2 (Mise en ligne Avril 2010) Autres brèves L’Autorité de la concurrence saisie pour avis (Mise en ligne Février 2010) Fracture numérique : publication de la loi Pintat (Mise en ligne Décembre 2009) Proposition de loi sur la fracture numérique : vers la portabilité des mails par les FAI (Mise en ligne Décembre 2009) Internet haut débit : les opérateurs appelés à contribuer… (Mise en ligne Octobre 2009) Communications électroniques : tableau de bord de déploiement des réseaux très haut débit en fibres optiques (Mise en ligne Janvier 2009) Communications électroniques : réseaux fibre optique et copropriétés (Mise en ligne Janvier 2009)

Conférences, Evénement

Vidéosurveillance Infos, Avril 2010

Au cours du rendez-vous mensuel accordé à Vidéosurveillance Infos, Maître Alain Bensoussan répond aux questions de Virginie Cadieu sur la transmission d’images aux services de police par un bailleur, l’installation par une collectivité locale de systèmes de vidéosurveillance sur une propriété privée, la création de la Commission nationale de la vidéoprotection (CNV), ainsi que l’atteinte à la vie privée résultant d’une enquête diligentée dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Alain Bensoussan pour Vidéosurveillance Infos, avril 2010

Evénement, Revue de presse

Le minitel rose et la protection des mineurs

Sur Antenne 2, Alain Bensoussan était invité à participer au Journal de 20 heures du 4 mai 1987,  s’est exprimé sur les dangers résultant pour les mineurs de l’utilisation du minitel rose. Selon Maître Bensoussan, il est permis de s’interroger sur la nécessité de repenser complètement l’organisation juridique pour protéger la jeunesse. L’idée n’est pas d’interdire, mais de permettre une diffusion beaucoup plus restreinte, à l’instar des films érotiques ou pornographiques. Le reportage était consacré au téléphone rose et autres messageries érotiques accessibles à tous via le Minitel, à l’heure où le ministre de l’intérieur, Charles Pasqua, au nom de la protection des mineurs, dénonçait les parties d’opposition qui selon lui, défendaient de gros intérêts financiers, fondés sur l’apologie du sexe. Le commentaire sur des images d’illustrations alterne avec les interviews de Jean Paul Maury, direction général Télécoms, de Pierre Bellanger, PDG Telefun, de Sylvie, télé animatrice et d’Alain Bensoussan, avocat. Journal de 20 heures d’Antenne 2 du 4 mai 1987.

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